Grâce à l’ensemble des intérêts socio-économiques, écologiques de l’arganier et sa place irremplaçable dans l’environnement, il faut le protéger par tous les moyens possibles. premièrement favoriser la régénération naturelle par la participation à l'édification de murettes en pierre pour protéger les jeunes touffes, et interdire l’introduction des cheptels dans les zones de l'arganeraie mises en défend par le Service des Eaux et Forêts. Semer des noix d'argane dans des endroits relativement bien protégés de l'arganeraie. Deuxièment encourager la régénération artificielle à l’aide des techniques de multiplication végétative, qui nécessitent certaines conditions à maitriser. Ces techniques permettent également La production de plants d'arganier de bonne qualité ayant des caractères répondant aux besoins de la sylviculture.
Par ailleurs, il faut maximiser les rendements d’extraction en huile, par utilisation des techniques d’extraction très efficaces tout en évitant la perte de sa qualité nutritionnelle.
A l’heure actuelle, l’huile d’argane n’a pas encore dévoilée tous ses secrets. Les recherches doivent se poursuivre car cette richesse dorée du Maroc renferme des potentialités jusque-là inconnues et dont la mise à jour pourrait donner à cet arbre béni de Dieu, un nouvel essor dans son contexte socio-économique et culturel et par conséquent au maintien de ce rideau vert aux portes du désert.
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